Mon parcours créatif et mon lien avec la musique (texte incomplet)
Mon plus vieux souvenir musical avec forte émotion remonte à quand j’avais 7-8 ans. En Italie, j’avais découvert via la belle jeune voisine de ma grand-mère la dance music. Je rentrais des vacances d’été avec une copie de la compilation sur K7 et je l’écoutais tellement ! Avec les enfants que ma mère gardait, on faisait même des contests de danse sur cette musique , mais j’étais le plus nul ! J’étais alors déconnecté de ma créativité.
En parallèle à cette histoire, le solfège et le piano de conservatoire me dégoûtent de la pratique musicale. C’était d’ailleurs probablement une raison de ma déconnexion créative. Ça n’est pas avec le solfège et le conservatoire qu’on apprend à être créatif. Du moins, ça n’est pas l’expression individuelle et pure qui est encouragée.
Cela dit, en tant qu’auditeur, la musique ne me quitte pas. J’apprécie tant Je ne t’aime plus / Bongo Bong à l’âge de 11 ans, que le fascinant premier album de Gorillaz à 13 ans et l’année suivante le deuxième album de Manu Chao que je piquais à ma sœur. Au milieu de tout ça, j’avoue avec une petite honte que j’ai eu ma période 2be3 😳 et que j’étais fan de Manau – sans aucune honte. Sans être à fond dans le rap comme d’autres camarades de classe, j’ai aussi apprécié McSolaar ou encore Will Smith. Et je ne peux pas ne pas mentionner Jamiroquai avec Deeper Underground dont je raffolais. Peut-être aussi parce qu’il avait l’air trop cool à danser sur des taxis new-yorkais dans un décor apocalyptique.
Ensuite, c’est la musique électronique qui débarque à nouveau dans ma vie et qui me permet de canaliser les émotions fortes de l’adolescence.
En 2002-2003, je tombe amoureux de la trance et des DJ sets. Je me mets au DJing et enregistre mes premiers sets à l’aide d’AtomixMP3 puis Traktor DJ Studio. Au clavier et à la souris !
suite à venir